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PSEPS Association

Notre projet est une initiative solidaire à Tambacounda, au Sénégal, dont l'objectif est de créer du lien et répondre aux besoins des populations locales. Nous décollerons le 3 juillet de Nantes pour une présence sur place d'un mois. Nos missions principales seront de participer au développement d’une exploitation maraîchère gérée par une association de femmes. Le but de ce projet est de créer un moment de partage, d’échange de savoirs et de savoir-faire ainsi que de répondre à leurs besoins concrets.

Un projet solidaire

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Répondre à des besoins concrets en créant un lien durable avec les maraîchères de Tambacounda.

Notre objectif

Envie d’agir pour soutenir notre projet ? Vous pouvez nous aider grâce à la cagnotte en ligne en faisant un don ou bien en diffusant le projet à votre entourage. Nous avons besoin de vous !

UN ESPRIT PARTICIPATIF

Participer au développement d’une exploitation maraîchère gérée par des 
femmes.

Agriculture

Créer du lien avec les habitants locaux et partager nos mœurs culturelles.


Echange culturel

QUELLES SONT LES MISSIONS DE L’ASSOCATION ?

Tout le monde peut donner
un coup de main à sa façon !

Partenaires

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Nous sommes trois étudiants, âgés de 21 ans, en quatrième année en école d’ingénieur à l’ICAM de La Roche-sur-Yon. En Octobre 2020, nous avions la volonté de réaliser un grand projet ensemble, nous voulions être acteurs de notre société et répondre à des besoins concrets. Après réflexion et discussions sur le projet nous avons créé notre association dans l'objectif est de partir vivre des expériences solidaires au Sénégal. Le projet 2024 sera le deuxième réalisé par l'association.

3 étudiants ingénieurs

Tambacounda se situe au cœur des terres sénégalaises. Localisée à environ 500km de Dakar, cette ville de 80 000 habitants est un carrefour routier important. Elle est actuellement en partenariat avec La Roche-Sur-Yon où nous effectuons actuellement nos études. Cela facilite les échanges, nous permet d’avoir des contacts fiables et de pérenniser le projet.

Tambacounda

Pour notre avant-dernier jour à Dakar, nous avons découvert 2 merveilles de la ville. Premièrement, nous avons visité le musée des civilisations noires. Ce gigantesque bâtiment renferme dans ses portes l'histoire de notre population de la préhistoire, la naissance de l'Homme en Afrique et ses migrations vers les autres continents et son évolution jusqu'à aujourd'hui. Ensuite, nous avons pris la direction du lac rose pour y passer l'après-midi. Nous avons pu le découvrir de l'intérieur en pirogue et de l'extérieur en 4x4. Malgré sa couleur marron a cause de la pluie, l'expérience était géniale. En fin de journée, nous avons été acheter nos poissons aux pêcheurs fraîchement arrivés de la pêche.

Dakar et ses merveilles

Pour notre deuxième jour à Dakar, nous avons décidé de profiter de l’océan malgré le mauvais temps. Nous avons pris la direction de la plage des mamelles à pied où nous avons fait un petit plongeon. La beauté du cadre nous a donné envie de siroter une petite bière à l’étage d’une paillote au bord de la plage. Nous avons ensuite pris la direction de la gare maritime pour rejoindre l’île de Gorée. Ce lieu, chargé d’histoire, fut très intéressant à découvrir. Au retour, la houle faisait beaucoup tanguer le bateau. Ce soir, nous allons en soirée dans un bistrot avec nos amis-guides, en bord de mer.

Découvert de l'île de Gorée

Notre première journée à Dakar ne s’est pas tout à fait passée comme prévu. Premièrement, notre car est arrivée avec 2 h de retard à Dakar, heureusement notre guide et la propriétaire de notre appartement nous ont gentiment attendu. Cependant, après avoir pris la direction des premières visites, le démarreur de la voiture est tombé en panne et nous avons donc dû la pousser jusqu’au garage. En attendant la réparation, nous avons visité le monument de la renaissance africaine et son musée. Pour le déjeuner, nous avons pris une pirogue pour l’île de Ngor. Cette petite île nous faisait beaucoup envie cependant nous avons du la visiter sous la pluie pendant tout l’après-midi. En voulant retourner sur le continent cette fois, le bateau est tombé en panne, heureusement, il a démarré en quelques minutes. Ce soir, nous rattrapons tranquillement notre retard de sommeil et nous espérons que la journée de demain sera plus calme.

Premières péripéties à Dakar

Nous avons commencé la journée avec la venue de Dramane (Formateur à l’ISETA) sur la parcelle pour former les femmes à l’horticulture. Ensemble, nous avons préparé la terre, ajouté du fumier et transplanté les pépinières de salades, poivrons et aubergines achetées la veille. La parcelle aujourd’hui fonctionnelle et les femmes sont autonomes pour cultiver sur celle-ci. Nous avons également ajouté des arbres fruitiers baptisés au partenariat entre les deux associations. Enfin, ce soir, nous avons pris notre dernier repas avec Rougy et sa famille au restaurant, ce fut un très bon moment de partage pour clôturer le projet.

Formation à l'horticulture

Aujourd’hui, le planning était chargé. Nous avons commencé par réaliser la dalle sous le portail. Nous avons voulu faire un béton bien lisse et bien ajusté afin que les nuisibles ne puissent pas entrer sur la parcelle. Ensuite, nous avons continué à préparer les planches de culture pour la formation de demain. Après le repas, nous nous sommes séparés : Mathis a rejoint Penda pour offrir du matériel scolaire aux élèves d’une école partenaire tandis que Simon, Clément et Florentin ont acheté du matériel de maraîchage avec Dramane, un ami formateur en horticulture. En début de soirée, nous sommes passés chez le couturier pour commander des tenues traditionnelles sur mesure.

Des maraîchères bientôt autonomes

Ce matin, nous avons décidé de commencer la journée plus calmement. Les derniers jours ont été très intenses et nous ont épuisé. Pour commencer, nous avons entrepris les finitions de la clôture. Pour cela, nous avons commencé à étaler la terre dans les chemins et contre le mur de la clôture cependant la chaleur nous a très vite fatigué. Après avoir mangé et une petite, sieste le portail est enfin arrivé, et après un long montage, il ne restera plus qu’à installer le grillage sur celui-ci.

La touche finale

Ce matin la chaleur était une fois de plus avec nous mais cela ne nous as pas empêcher de travailler et de bien avancer sur la clôture… Le dimanche de nombreuses femmes sont disponibles, elles se rendent donc sur la parcelle pour cultiver un peu. Vers 14h, mauvaise nouvelle, nous avions fini le gravier pour le béton alors qu’il restait 2 coffrages à remplir. Heureusement nous avons pu commander le gravier en express.

Ce matin, motivés par la fraicheur matinale, nous avons commencé le travail tôt. Nous voulions avancer un bon coup sur la clôture et se rapprocher de la fin. Nous avons également installé la dernière portion de grillage. Avec l’aide des maçons, nous avons fait beaucoup de béton et presque la totalité du grillage est scellé. Nous espérons finir la maçonnerie demain.

Dernière portion de grillage

Aujourd’hui nous avons continué les travaux de la veille. Nous avons encore rempli des coffrages et délimité les futures planches de culture. En fin de journée nous avons organisé les taches de nos derniers jours à Tamba et travailler sur la vie associative pour encadrer les femmes (règlement intérieur, organisation de parcelle et conseil de culture).

Encore une belle journée de maçonnerie

Pour changer aujourd’hui nous avons fait de la maçonnerie et installé du grillage. Comme la veille nous avons continué à dérouler le grillage, remplir les tranchées de gravats, de briques et de béton.

Encore et toujours...

Aujourd’hui, nous avons continué la construction de notre clôture anti-nuisibles. Après avoir vérifié la solidité des plots en béton, nous avons tendu les fils tendeurs sur 3 des 5 pans de clôture. Nous avons par la suite commencé à dérouler et attacher le grillage. Après la mise en place du grillage nous avons continué le béton avec les maçons.

Premiers mètres de grillages

Aujourd’hui c’était la reprise du chantier pour Simon et Florentin, guéris de la tourista. Avec l’aide d’un maçon nous avons pu fixer l’ensemble des poteaux dans des plots de béton et en consolider certains. Par la suite nous avons commencé à poser les fils et les tendeurs pour le grillage mais nous avons eu une mauvaise surprise : un plot en béton à cédé sous la tension des tendeurs. Pour nous rassurer, nous avons donc consolidé l’ensemble des poteaux d’angle.

Reprise du chantier

A l’occasion de la Tabaski, le 11 juillet est férié au Sénégal et puisque nous étions également un peu malades, nous avons décidé de nous reposer toute la journée. Cela nous a vraiment fait du bien et nous a donné de la force pour la suite.

Journée de repose

Aujourd’hui était un grand jour au Sénégal, c’était le début de la fête de la Tabaski. Une tradition pour les musulmans qui achètent un mouton pour nourrir leurs familles et leurs amis pendant 3 jours. Nous avons donc assisté à la découpe et à la préparation du mouton, selon la tradition, après la prière. Par la suite, tout le reste de la journée, nous avons mangé du mouton et salué les enfants du quartier. Cette journée se clôture par une grande fête à laquelle nous n’avons pas pu assister à cause d’un début de tourista

TABASKI

Aujourd’hui, nous avons continué la maçonnerie en fixant les poteaux dans les angles de la parcelle. Nous avons également commencé à fixer quelques poteaux intermédiaires. Pour finir, nous avons posé la seconde et dernière rangée de briques sur le mur en bas de la parcelle puis rebouché la tranchée. Le chantier continu d’avancer et nous sommes pressés de voir le résultat.

Scellement des poteaux

Aujourd'hui, nous voulions fixer l'ensemble des poteaux de la clôture dans le mur bétonné en bas de la parcelle. L'objectif, est d'avoir une base solide sur cette face en bordure du Mamacounda. En fin de journée la pluie est venue compliquer le travail.

Fixation des poteaux 

Ce matin, nous avons reçu les livraisons de matériaux pour la maçonnerie (sable, gravier, briques…). Nous avons ensuite consacré notre après-midi à la maçonnerie pour la fondation de la clôture en bas de la parcelle. En fin de journée, un maçon est venu nous aider et nous donner des conseils, il nous a été très utile.

Dans la peau d'un maçon

Aujourd’hui, l’objectif était de finir toutes les tranchées à la bonne profondeur pour la clôture. Par la suite nous avons acheté et commandé du matériel pour commencer celle-ci demain. L’après-midi était plus reposant car la journée de demain risque d’être fatigante.

Finition des tranchées

Aujourd’hui, nous avons établis la délimitation de la nouvelle parcelle et creusé les tranchées pour accueillir le nouveau grillage. Ce fut une belle journée de travail (avec une petite sieste bien évidemment). Le début du chantier se passe très bien toutes les femmes et leurs enfants nous aident beaucoup.

Premières tranchées 

Aujourd'hui la journée a débuté sous la pluie et le vent de ce fait la parcelle était impraticable. Nous avons donc joué aux cartes en attendant que la pluie s'arrête. L'après midi la case des tout-petits avait organisé une fête pour clôturer notre partenariat.

Premier jour de pluie

Nous avons commencé la journée en faisant des activités avec « la case des tout-petits », les enfants étaient très enthousiastes. Nous avons ensuite mangé et fait une sieste chez Rouguy avant de commencer les activités de maraîchage. Les grandes lignes du projet commencent à bien prendre forme. Ce soir nous nous reposons car les nuits sont courtes ici.

Premiers pas sur la parcelle

Aujourd'hui nous avons débuté les activités avec la case des tout-petits puis nous avons retrouvé Penda, directrice d'une école primaire, et ses enseignants afin de créer un partenariat avec une école yonnaise. La soirée fut riche en émotions avec une très jolie fête organisée par Rouguy.

Des échanges culturels très riches

Aujourd’hui nous avons préparé les activités que nous allons réaliser les 3 prochaines matinées avec les enfants. Nous avons fait les achats et rencontrer les différents membres de la direction. Par la suite, nous avons visité une parcelle très bien développée pour nous servir d’exemple. Nous avions également programmé une réunion avec Penda directrice d’une école pour réaliser des activités en partenariat avec les écoles de la Roche-sur-Yon. Pour finir la journée, nous avons retrouvé Pablo du quartier artisanal, que nous avions rencontré la veille.

Préparatifs

Ce matin fut pour nous le premier vrai jour de notre projet. Avec Rouguy et ses amies nous avons fait la rencontre de plein de monde à la mairie et dans son quartier, les gens sont très accueillants ici. Ce fut également l’occasion de réaliser nos premiers achats de nécessité sur le marché. Après avoir mangé selon la méthode traditionnelle, avec les mains, nous avons fais la rencontre des maraichères et de leur parcelle.

Premières rencontres à Tamba

Ce matin nous avons visité la parcelle de maraîchage proche de l‘écogite. En effet l’écogite « Degg Jamm » possède sa propre parcelle, très bien développée. Au sein de l’écogite, il y a également différents types d’élevage (pigeons, poulets, poules, lapins…) Après le repas du midi nous avons pris la route en direction de Tambacounda.

Première journée au Sénégal

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Étudiant en quatrième année d’école d’ingénieur à l’ICAM, je pratique le football et la course à pied. Ce projet est pour moi un nouveau défi à relever. De plus, celui-ci permet un enrichissement personnel et culturel, et fera preuve, je l’espère, d’un échange riche tant pour les populations locales que pour nous.

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Mathis Morin

Je suis actuellement en quatrième année en école d'ingénieur à l'ICAM Vendée.
Au quotidien, je suis animé par le sport et la musique qui sont mes passions, mais également par mon envie d’aider les autres. C’est avec cette optique et la volonté de vivre des moments forts de partage et de découverte avec les populations locales que je m'investis dans ce projet.

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Tom Boiteau

Originaire d’Ancenis (44), je suis actuellement en 4ème année d’école d’ingénieurs à l’Icam de La Roche-sur-Yon. Curieux et aventurier, j'ai un réel attrait pour le milieu agricole. 
Fort de mon expérience dans ce domaine, ces actions ont du sens et me permettent de mettre en application les compétences techniques acquises au cours de ma formation. 
Ce projet est alors l’occasion pour moi de sortir du statu quo et découvrir la culture Sénégalaise dans le but de promouvoir la solidarité. 
C’est avec détermination que je m’investis dans notre association pour mener à bien nos actions.

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